16 novembre 2013

Troubles alimentaires : notre meilleur allié, le symptôme

Les troubles n'ont pas seulement leur origine dans nos habitudes alimentaires ni dans le type de produits que nous absorbons, comme semble le supposer cet article :
"Neurosciences et obésité : Quoi de neuf dans notre relation à la nourriture? Quelle est la passerelle entre le cerveau et l’obésité ? Le modèle de la dépendance, connu pour d’autres substances, peut-il être appliqué à la nourriture et aux troubles du comportement alimentaires ?"

Aux produits nocifs que nous retrouvons dans nos assiettes, nous devrions ajouter les médicaments "à l'aveugle", cet à dire, en méconnaissant les causes qui peuvent provoquer une forme d'obésité ou d'autres troubles plus importants au niveau de notre cerveau.



L'industrialisation de l'élevage et donc le glissement de l'animal vers un produit a fait que des traitements chimiques de plus en plus nocifs se retrouvent dans nos assiettes provoquant des maladies de type : obésité, diabète, voire alzheimer. (l'agro-alimentaire ne s'acquitte pas de la dette environnementale ni sociale cette voie demeure donc rentable, même si nous devenons à notre tour des consommateurs-produits)
Voici un reportage sur le poisson d'élevage

Il est difficile dans ce contexte de choisir en toute connaissance ce que nous mangeons car la traçabilité des polluants alimentaires n'est pas explicite sur les étiquettes et l'information représente parfois un autre polluant .

Mon Dieu, donne moi le courage de changer les choses que je peux changer, la sérénité d'accepter celles que je ne peux pas changer, et la sagesse de distinguer entre les deux. Marc Aurèle 

Dans son aspect positif, ce post invite à la pensée critique, à développer sa propre connaissance par le croisement de sources différentes et éviter le "prêt-à-penser". Le symptôme, si nous nous entrainons à le détecter dès que les premiers signaux apparaissent, est une source d'information envoyé par notre organisme. L'éliminer, comme nous le faisons souvent car il représente une source d'inconfort, revient à mettre un couvercle sur notre conscience et notre aptitudes à découvrir ce qui est bien pour soi.